« Issu de l’excellent groupe L’Attirail, Saul Raki nous ramène finalement en terres occidentales… Post-rock, jazz primitif, musique du monde, blues minimal : tout ou presque sert Saul Raki dans sa quète des frontières oubliées du Grand Ouest . Saul Raki s’inspire du western, mais d’un western imaginaire et parodique, comme celui qu’inventa naguère Ennio Morricone . « ( Le Parisien)
« Le trio original de L’Attirail est devenu l’immigrant clandestin d’un western réinventé, poussant sa bricole sonore sophistiquée aux confins d’un jazz déglingué par un blues de gitans « . (Lylo)