L’éléfanfare revisite l’idée des fanfares en amenant dans les rues une musique aux multiples racines, qui puise ses improvisations et ses arrangements dans un jazz hérétique, coloré de mélodies aux accents des musiques traditionnelles d’Europe ou d’ailleurs. Cette fanfare cuivrée, développant un langage rythmique énergique proche des musiques africaines, cherche également du coté des musiques contemporaines des formes musicales et des sonorités nouvelles. Investissant des lieux insolites, cet orchestre de pas sages transforme chaque place ou ruelle en nouvelle salle de concert.