Conçu comme un aller-retour entre Paris et Strasbourg, Tsuku Boshi (de Tsuku Tsuku Boshi, la cigale en japonais) n'a eu de cesse de se débarrasser de toute forme de structure. Des trajets, des vitesses et des lieux différents sur la carte musicale d'aujourd'hui. Une diversion sonore, quelque part entre les boucles répétitives de Steve Reich et les soundscapes d'un monde postindustriel, entre l'electro adulte et les musiques dites contemporaines. Des sons superposés, des bruits trafiqués, des picotements sonores cristallins dans la colonne vertébrale, une voix fragile, la présence d'un piano ou d'un laptop préparé..